VIDEO. RA Le ministre de la Diaspora Hranush Hakobyan sur les résultats du 6ème Forum pan-arménien “Arménie-Diaspora 2017”

VIDÉO: VI Forum «Arménie-Diaspora 2017»

6ème session. Les députés du Parlement de l’Arménie Occidentale (16.09.2017)

Liste des députés de l’Assemblée nationale (Parlement) de l’Arménie Occidentale (6ème session, 16.09.2017)

       Surname   Name

  • Aprahamian Vrej
  • Aramyan Hrayr
  • Atakyan Vladimir
  • Avetisyan Perch
  • Avetisyan Kamo
  • Avtandilyan Vanya
  • Babakhanyan Vahan
  • Babayan Tigran
  • Babayan Hasmik
  • Balaian David
  • Bangoyan  Armen
  • Bassam Tahhan
  • Beglaryan Levon
  • Chityan Azniv
  • Dalbas Sevan
  • Demir Murad
  • Gareginyan Ashot
  • Gazarosyan Jean
  • Grigoryan Diana
  • Grigoryan Ernest
  • Gyuloyan Yuliya
  • Hambardzumyan Hrachya
  • Harmandayan Armenag
  • Harutyunyan Hayk
  • Harutyunyan Tigran
  • Hovhannisyan Armen
  • Kalamkeryan Vardan
  • Karagozyan Karapet
  • Kazandjian Ashod
  • Kerselyan Suren
  • Khachatrya Yeghishe
  • Khachatryan Anna
  • Khinoev David
  • Khosroev Razmik
  • Melikdzhanyan Arsen
  • Melikyan Artashes
  • Melkumyan Sergey
  • Mheryan Samvel
  • Muradyan Valera
  • Nahatakyan Anahit
  • Nazarian Beatrice
  • Nikogosyan Alvard
  • Ohanyan Saida
  • Polatov Edward
  • Prazyan Karen
  • Sagertyants Vagarshak
  • Sananyan Vardan
  • Saryan Ashot
  • Sedrakyan Vardan
  • Shakhnazarian Anushavan
  • Shirinyan Hrachya
  • Ter-Martirosyan Aram
  • Ter-Ovannesov Konstantin
  • Ter-Ovannesova Karine
  • Ter-Sarkisyan Armen
  • Tonoyan Armen
  • Trapizonyan Galust
  • Urushanov Mikhail
  • Vardanyan Karen

 

Liste des députés de l’Assemblée nationale (Parlement) de l’Arménie Occidentale

 

Nourdjan BAÏSSAL: «Respect des os»

Dans les SMI de la semaine dernière on a pu lire que les responsables de la municipalité d’Edremit (arm. Artamet – transcription supposée) de la région de Van ont fait construire une plage publique avec vestiaire et WC sur l’emplacement  historique du cimetière arménien. Les ossements ont été dispersés à travers tout le cimetière. A ce sujet la municipalité s’est expliquée sur son compte Twitter :

« L’information donnée par l’agence Didjlé concernant la destruction d’un cimetière arménien et l’édification à sa place d’une plage publique etc.. est totalement fausse ; dans cette région il n’y a pas de cimetière arménien ».

Le responsable administratif fera tout pour occulter sa honte. Malheureusement, du haut de mes quarante ans, j’ai été témoin de tels actes et cela ne m’étonne plus. Il s’agit seulement d’un nouvel acte honteux commis à l’encontre du peuple arménien dont j’ai pris connaissance pendant les débats et ai lu les commentaires suivants :

En voici quelques uns :

«  arméniens traîtres et sales porcs, ne jouez pas avec la patience du peuple turc sinon vous ne trouverez plus aucune pierre tombale »

« Ce ne sont pas des arméniens qui y sont enterrés mais des terroristes ordinaires »

« Si quelqu’un a commis cet acte, ce sont bien les arméniens »

« Au cimetière il n’y avait pas de WC. Donc c’est un service rendu à nos citoyens arméniens… »

Faut-il s’étonner des paroles d’un tel « individu » ? On a construit un wc sur des tombes d’arméniens qui sont pourtant citoyens de votre gouvernement et de plus il menace : « sales porcs d’arméniens, vous ne trouverez plus aucune pierre tombale » écrit-il. Et il faut de plus considérer ces wc comme un cadeau rendu aux arméniens…. La haine, la haine, rien que de la haine !

Après ce tweet, nous apprenons que cette plage publique est fermée, que des camions et des excavateurs ont commencé les travaux, que le chef religieux protestant de Van, Vakhit Yildyz , n’a pu y pénétrer. Yildyz a déclaré que des ossements ont été repérés dans les tas de terre retournée : « Dans des lieux comme les églises, cimetières ou sanctuaires il n’est pas bon de construire des toilettes, des douches ; c’est contraire à l’éthique » a-t-il souligné. Si la pareille avait été faite dans un cimetière musulman, il est plus que probable qu’une mobilisation ait lieu.

Il y a eu tant de violences sur cette terre. Les arméniens, les assyriens, les chaldéens, ces peuples ont été anéanti sur cette terre. Nos grands-pères aussi ont participé  à ces massacre et  génocides. Depuis de longues années je vis avec cette honte. Je ne veux plus partager cette honte à cause de ce qui s’est passé dans ce pays. Je ne me considère pas comme une composante de cette société. Je ressens une colère terrible envers ceux qui ont accompli ces actes. Je veux lutter contre ceux qui accomplissent ces actes barbares, ces pogroms, ces crimes. Je veux que cela ne se reproduise plus.

Ma grand-mère Aïcha, décédée à l’âge de 104 ans, me racontait comment on avait tué leurs voisins arméniens. A coup de pelle, de hache, à coups de feu ; on les jetait du haut de la falaise de notre village et elle les a pleurés jusqu’à sa mort. Ma grand-mère me racontait encore que les os savent également parler. Ma grand-mère disait qu’elle en avait entendus parlé. Ils priaient qu’on s’occupe d’eux et qu’au moins, quelquefois, on vienne leur rendre visite.

Dans ce pays on ne respecte pas les vestiges d’ossement. Ici on tue, on affame, on laisse sans travail, on jette dans les prisons. Mais maintenant nous savons en plus, qu’ici, on est capable de construire des wc sur les tombes !

Mais les ossements parlent…

Nourdjan BAÏSSAL

Militante, écrivain d’Amid

Voskanapat info

Stanislav Tarassov: «L’organisation du référendum concernant l’indépendance du Kurdistan irakien est incertaine»

A la veille du référendum concernant l’indépendance du Kurdistan irakien prévu le 25 septembre, la capitale de cette région non encore indépendante est devenue « la Mecque politique » du Proche Orient. De nombreuses délégations étrangères  se rendent à Erbil pour discuter avec les dirigeants locaux des perspectives du développement  de la situation non seulement en Irak mais dans toute la région. Effectivement, la situation évolue rapidement et de manière très significative  au point de presque faire oublier la lutte contre DAECH (organisation dont l’activité est interdite en Fédération de Russie). Donc le facteur de désagrégation – après celle de la Lybie – d’un autre Etat arabe conduira fatalement à la formation de nouveaux centres de force qui ne seront certainement pas capables de collaborer dans le futur.

De plus n’oublions pas que pratiquement tous les Etats du Proche Orient ont été créé, arbitrairement, à l’époque coloniale. C’est la raison pour laquelle l’apparition d’un Kurdistan indépendant peut avoir un effet domino et faire crouler toute la construction géopolitique actuelle. Personne ne conteste plus cela, les questions concernent les détails. Parmi les Etats où vivent les Kurdes – la Turquie, l’Iran, la Syrie – seuls les kurdes d’Irak jouissent d’une réelle autonomie avec les pleins attributs  gouvernementaux. Là, ils peuvent réaliser leur but historique fondamental qui tôt ou tard imposera le projet de « Grand Kurdistan ».

Il ne faut pas non plus exclure le fait que les Kurdes de Syrie réussissent à obtenir leur autonomie. A la suite de l’Irak , le mouvement  conduira à stimuler  des changements dans le statut des kurdes de Turquie et d’Iran. Ainsi se conclura une chaîne d’évènements, étonnante et paradoxale, commencés en 2011 avec « le printemps arabe », le renforcement de l’islam radical, l’apparition de DAECH (organisation dont l’activité est interdite en Féd de Russie), le projet d’institution d’un  khalifat,  l’émergence potentielle sur la scène politique d’un projet de Kurdistan en Turquie, Syrie, Iran, doté de structures étatiques kurdes. C’est-à-dire que, si à l’heure actuelle nous avons affaire à quelques Etats turks : Turquie, le Nord de Chypre, Azerbaïdjan et quelques Etats d’Asie centrale,  dans le futur peuvent émerger quelques pays kurdes.

Et il sera même possible de voir deux Arménies, l’une en Transcaucasie et l’autre au Proche Orient. Ce n’est pas pour rien qu’ Ilham Aliev, président de l’Azerbaïdjan, déclare qu’ « il ne tolérera pas l’apparition d’un deuxième Etat arménien dans la région » et Regep Taip Erdogan, président de la Turquie, dit qu’ « il n’admettra pas la formation en Syrie d’un Etat kurde de plus ». Aliev, se référant une fois de plus à des sources non nommées, a souligné que « on l’enjoint à reconnaître l’indépendance  du Nagorno-Karabakh » puis Erdogan , au cours de ses prises de paroles,  a évoqué « la dislocation du pays ».

Ankara qui a besoin du soutien de ses alliés de l’OTAN et, se trouvant sous la pression du Parti des travailleurs kurdes (PKK), du parti « Union démocratique » (PYD) et de DAECH (organisation dont l’activité est interdite en F. de R), se retrouve devant le fait que certains membres de l’OTAN, directement ou indirectement, soutiennent ces mouvements comme le constate le journal Cumhuriyet. Se référant à de nombreux experts turcs bien informés, il pronostique que « la région que nous nommons Proche Orient a, de fait, fait émerger un Etat kurde indépendant » et qu’il faut  réétudier   le Traité de Sèvres de 1920 qui stipulait  la création d’un Grand Etat d’Arménie et « admettait seulement la formation d’un Etat kurde, indépendant de la Turquie ».

En outre, Cumhuryiet estime que « Ankara, à plus ou moins brève échéance, n’aura d’autre alternative que de reconnaître  un Kurdistan indépendant , de consentir à une résolution de la question arménienne » et l’Azerbaïdjan « aller vers la reconnaissance de l’indépendance du Nagorno-Karabakh ». Le drame dans la situation de la Turquie et de l’Azerbaïdjan réside dans le fait que les menaces envers leurs gouvernements ne viennent pas du nord, pas de la Russie mais du sud auprès duquel ils ont par tradition cherché des alliés. Pour l’instant tous les regards sont concentrés sur Erbil, sur sa capacité ou non de réaliser son plan d’autodétermination.

Font pression sur lui pour le report du référendum à mars prochain les Etats-Unis, « après avoir défait DAECH (organisation dont l’activité est interdite enRussie) »  ainsi que Bagdad qui ne souhaite pas de divorce, la Turquie qui est à deux doigts de conclure une alliance politico-militaire avec l’Iran contre le mouvement kurde et quelques Etats arabes de la région. Cela oblige les kurdes à manœuvrer.

Ainsi, le proche conseiller de Massoud Barzani, président du Kurdistan, a annoncé que « ce plan ne peut être modifié que si on  donne  aux kurdes de solides garanties internationales sur  une date concrète  pour l’ organisation du vote concernant son indépendance ». En accord avec cette déclaration « Bagdad, Téhéran, Ankara et Washington doivent être les partenaires de cette transaction qui doit également inclure que les parties signataires accepteront les résultats du référendum.

On le voit : Moscou ne figure pas dans la liste bien que d’après les résultats des consultations qui se sont déroulées à Moscou entre le  vice ministre des Affaires Etrangères et représentant particulier du président russe aux affaires du Proche Orient et des Pays africains   Mikhail Bogdanov et son homologue de la République turque Sedate Onal « la Russie et la Turquie ont confirmé vouloir conserver l’unité, la souveraineté et l’intégralité territoriale de l’Irak. Est soulignée l’importance de résoudre les problèmes internes par les irakiens eux-même dans le cadre d’un dialogue  respectueux des intérêts de toutes les composantes  ethno-confessionelles de la société irakienne ».

Encore quelques nuances importantes. Mevlut Tavutoglü, responsable du Ministère des Affaires Etrangères de Turquie, allé récemment à Erbil, dans une conversation avec Barzani a annoncé que « Ankara considérait que le choix de la date pour les élections concernant l’indépendance du Kurdistan ne convenait pas ». Devlet Bahceli,  leader du parti turc d’opposition , Parti du mouvement national (PND) a vu là un soutien masqué d’Ankara « pour la préparation par Barzani d’un référendum y inclus dans certaines villes turkmènes d’Irak »,  ce qui à son avis « s’avère, en son genre, une répétition pour la création d’un Kurdistan».

Dans le même temps, de nombreux experts turcs estiment que « même si une majorité de participants au référendum voteront pour, cela ne signifiera pas que les kurdes proclameront  la création d’un Etat propre ». Ils pensent que Erbil compte « recevoir appui  dans les pourparlers pour son autodétermination vis-à-vis de Bagdad de manière à y diminuer l’influence de l’Iran », ce en quoi est objectivement  intéressée Ankara. Pour l’instant le chef de l’autonomie kurde reçoit de nombreux diplomates étrangers, explique son point de vue, essaie de s’assurer un appui de l’étranger. En un mot il s’agit d’un grand jeu aux combinaisons multiples qui continue et s’approche d’une résolution intermédiaire.

26 août 2017,

Précisions sur: Regnum

Erevan (capitale – plus que Rome)

Erevan (capitale – plus que Rome)

La Commission d’enquête sur la Syrie appelle à reconnaître le génocide commis par l’EIIL contre les Yézidis

Trois ans après l’attaque de l’Etat islamique d’Iraq et du Levant (EIIL/Daech) contre les Yézidis, la Commission d’enquête sur la Syrie appelle la communauté internationale à reconnaître le crime de génocide commis par l’EIIL contre les Yézidis et à entreprendre des démarches pour renvoyer ce cas devant la justice.

La Commission d’enquête, qui a pour membres Paulo Sérgio Pinheiro (Président), Karen Koning AbuZayd, et Carla Del Ponte, a également réitéré sa recommandation à toutes les parties qui se battent contre l’EIIL de considérer des plans pour secourir les Yézidis toujours captifs.

Les Yézidis sont une communauté religieuse distincte dont les croyances et les pratiques remontent à des milliers d’années. L’EIIL les a déclarés publiquement infidèles.

Il y a trois ans, dans les premières heures du 3 août 2014, des combattants de l’EIIL ont lancé une attaque contre les Yézidis de Sinjar. Au cours des jours suivants, le groupe terroriste a exécuté des centaines d’hommes et a fait prisonniers des milliers de femmes et d’enfants.

Dans son rapport intitulé ‘Ils sont venus pour détruire : les crimes de l’EIIL contre les Yézidis’, publié le 16 juin 2016, la Commission d’enquête a constaté que beaucoup de femmes et de filles ont été emmenées en Syrie où elles ont été vendues et asservies sexuellement par des combattants de l’EIIL. Les garçons ont été endoctrinés, entraînés et utilisés dans les combats.

Le rapport conclut que l’EIIL a commis le crime de génocide en cherchant à détruire les Yézidis par le meurtre, l’esclavage sexuel, l’asservissement, la torture, le déplacement forcé, le transfert d’enfants et les mesures visant à interdire la naissance d’enfants yézidis.

Selon la Commission d’enquête, le génocide se poursuit et reste largement sans réponse, malgré l’obligation des États parties à la Convention de 1948 sur la prévention et la répression du crime de génocide visant à prévenir et punir ce crime.

« Des milliers d’hommes et de garçons yézidis sont toujours portés disparus et le groupe terroriste continue de soumettre en Syrie quelque 3.000 femmes et filles à des violences horribles, y compris des viols et des coups quotidiens », souligne la Commission. « Des femmes et des filles sont détenues dans la ville de Raqqa. Au fur et à mesure que les forces démocratiques syriennes et les offensives de la coalition internationale sur Raqqa s’intensifient, des informations indiquent que des combattants de l’EIIL tenteraient de vendre des femmes et des filles yézidies asservies avant de tenter de fuir la Syrie ».

La Commission d’enquête recommande à toutes les parties qui luttent contre l’EIIL d’envisager des plans visant à secourir les captifs yézidis et à utiliser tous les moyens disponibles pour assurer leur libération pendant les opérations militaires en cours.

« La communauté internationale doit également reconnaître que l’EIIL commet le crime de génocide contre les Yézidis et entreprendre des démarches pour renvoyer la situation devant la justice, y compris devant la Cour pénale internationale ou un tribunal ad hoc ayant une juridiction géographique et temporelle pertinentes », a déclaré la Commission d’enquête, qui suggère aussi à la communauté internationale de consacrer des ressources « pour porter plainte devant des tribunaux nationaux, que ce soit dans le cadre de la compétence universelle ou autrement ».

Centre d’actualités de l’ONU

Kondoleans med anledning av Åke Dauns bortgång

Till fru Laura Daun Minasyan

Det är med stor sorg, vi har mottagit beskedet om professor Åke Dauns bortgång. Åke Daun var engagerad i frågor som rörde Armenien och armenier. Han skrev mycket om armenier och Armeniska Folkmordet. Han var en av de som jobbade för erkännandet av Folkmordet på Armenier som senare erkänndes av Sveriges Riksdag.

På vägnar av Västarmeniska Republiken ock Armeniska Folket vill vi framföra våra kondoleanser till Åke Dauns familjemedlemmar och släktingar med anledning av Åke Dauns bortgång.

Med varmt deltagande i sorgen.

Vrezh Kosayan

Västarmeniens Utbildningsminister

2017-07-27

Ses condoléances suite au décès du professeur Åke Daun, Suède

Till fru Laura Daun Minasyan

Det är med stor sorg, vi har mottagit beskedet om professor Åke Dauns bortgång. Åke Daun var en god och nära vän till vårt folk. Han har jobbat mycket för erkännandet av Folkmordet på Armenier i Sveriges.

På vägnar av Armeniska Folket vill vi framföra våra kondoleanser till Åke Dauns familjemedlemmar och släktingar med anledning av hans bortgång.

Sarkis Kasparian

Ordförande i Förenade Armenier i Sverige,

Riksdagsman för Västarmeniska Republiken

2017-07-27

L’ancien ambassadeur des États-Unis en Arménie: le génocide ISIS contre les chrétiens et Yazidis ressemble énormément au génocide arménien

L’ancien ambassadeur des États-Unis en Arménie John Evans estime que le génocide de l’ISIS contre les chrétiens et les Yazidis au Moyen-Orient ressemble énormément au génocide arménien.

“Malheureusement, je vois des parallèles. Je veux dire, tout d’abord, il se passe ironiquement dans presque les mêmes régions du Moyen-Orient “, a-t-il déclaré lors d’un panel célébrant 25 ans de relations américano-américaines post-soviétiques dans Carnegie Endowment for International Peace.

Le diplomate a ajouté que la prise de conscience du génocide de l’ISIS était dans une certaine mesure grâce aux efforts du Saint-Père à Rome et d’autres personnes qui ont souligné, y compris les organisations arméniennes ici à Washington, que les chrétiens de nouveau et Yazidis deviennent les victimes De ce que je devrais appeler sont des efforts génocidaires, a rapporté Horizon Weekly.

Selon les Open Doors USA, en moyenne par mois, 322 chrétiens sont martyrisés pour leur foi, 214 “églises et propriétés chrétiennes sont détruites” et 772 “formes de violence sont commises contre les chrétiens (p. Ex. Battements, enlèvements, viols, arrestations et mariages forcés ). ”

News.am