Paranoïa politique. Un vaccin contre le terrorisme d’Etat – en trouvera-t-on un? En cherche-t-on?

Prostitution au niveau politique. Paranoïa politique. Terrorisme d’Etat. Ce sont les fléaux de l’humanité. Des maladies  qui ne figurent dans aucun manuel. Des maladies dont le malade est fier. Et les autres regardent et n’expriment leur horreur qu’après coup. Pourquoi après coup?

Parce qu’on peut faire de l’argent sur le dos de  toutes les maladies, alors que dire sur celle-là. Et de quelle manière?

Les intérêts politiques.

Les intérêts économiques.

La vente d’armes, l’achat de ressources énergétiques, de moi à toi – de toi à moi – impossible de tout énumérer.

Finalement entrent en jeu de nombreux intérêts mensongers et donc nuisibles pour ses propres citoyens. Car ce qui est acquis au prix du mensonge et de la vie d’autrui – c’est un mal dont l’aiguillon tôt ou tard se retournera contre son auteur. L’histoire ne manque pas d’exemples.

Et encore, pourquoi après coup. Parce que derrière les belles paroles se dissimule la lâcheté politique – synonyme d’inconsistance politique.

Et ce n’est pas grave si l’infection se propage et les éclats de ses flammes peuvent atteindre un pays avec les mêmes intérêts  politiques  mais, en réalité, économiques. Peut-être que cela se répandra.

Non, cela ne se répandra pas.

Aujourd’hui une petite nation fait office de tampon. A la vue de tous. Eux considèrent que c’est quelque part loin, pas chez nous; nous, nous avons nos problèmes – le cours de l’euro, du dollar, du rouble…

Et si ça se répandait? Peut-être qu’aujourd’hui ça va s’étendre.

Parce que eux ne pensent pas à endiguer cette infection. Ils ne font que regarder  comme elle triomphe et  ils continuent à engloutir une partie de la civilisation mondiale qui n’a pas encore retrouvé ses forces.

Et l’infection s’étend. Ils n’ont même pas conscience qu’ils sont infectés. L’effronterie politique, les signes d’aveuglement sont les premiers symptômes. Et il n’y a toujours pas de remède. On n’en cherche pas.

… La conscience politique. Un non-sens?

01.10.2020

Noyan Tapan

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