Appel aux dirigeants du monde à se référer aux travaux de l’Organisation de sécurité commune européenne: les crimes de Génocide commis contre le peuple autochtone arménien et les autres peuples autochtones de la Pré-Caspienne Occidentale

APPEL

au Président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine,

au Président des Etats-Unis d’Amérique Joe Biden,

au Président français Emmanuel Macron,

au Premier Ministre de Grande Bretagne Boris Johnson,

au Secrétaire Général de l’OTAN Jens Stoltenberg

concernant les pourparlers prévus entre la Russie et les USA,

le Conseil Russie-OTAN,

les discussions à venir au sein de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe

9-13 janvier 2022

Concernant les crimes de Génocide à l’encontre du peuple autochtone arménien et des autres peuples autochtones de la Pré-Caspienne Occidentale

 

Messieurs les Présidents, vos Excellences!

L’an dernier la machine génocidaire turque,  vieille de 150 ans, profitant du chaos créé par la pandémie du coronavirus COVID-19 et, comme il y a 100 ans, a une nouvelle fois trompé les Grandes puissances, l’opinion publique mondiale, contournant l’OSCE – l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe ( ont  pratiquement quitté l’OSCE de leur propre chef : la Turquie, l’Azerbaïdjan, l’Arménie, la Russie; ont contrevenu aux souhaits de l’opinion internationale – la décision de l’Assemblée Générale de l’ONU – : Israël, le Pakistan, l’Ukraine, la Biélorussie, le Kazakhstan, la Géorgie),  concentrant secrètement autour d’elle les forces destructrices revêtant toutes les formes d’usure existantes et ce,  à un moment troublé  de l’élection présidentielle américaine houleuse entre Donald Trump et Joe Biden, a préparé et exécuté lâchement ses crimes contre l’humanité et la civilisation et ce, de nouveau, au XXIe siècle, sous la forme d’un Génocide des arméniens de la Pré-Caspienne Occidentale, secondée par des terroristes et l’utilisation d’armes chimiques prohibées contre la population pacifique de la République Artsakh (Haut-Karabagh). Les buts criminels de cette coalition: le début du processus d’occupation de la République Artsakh et de l’Arménie, destruction définitive d’un Etat pour le peuple arménien à qui, il y a 100 ans, avait été imposé le statut de réserve économico-territoriale en accord commun avec les bolchéviques.  Les crimes d’aujourd’hui ont été rendu possibles par l’impunité des crimes commis il y a cent ans , comme n’ayant pas existés, n’ayant pas été prémédités, en dépit des Décisions des Pays vainqueurs de la Première Guerre Mondiale, du Tribunal militaire de Versailles, et d’actions criminelles inconséquentes qui ont accompagné divers programmes internationaux,  accomplies au nom de la sauvegarde de la paix dans le monde ainsi que dans des régions bien particulières.

Les funestes leçons du passé sont étrangement oubliées…Il en a été de même lors de la guerre de 44 jours en 2020 en Artsakh où, contournant les travaux de l’Organisation de sécurité commune européenne de notoriété mondiale et, en 88-89 avant notre ère, en Méditerranée orientale,  sans l’accord du Sénat romain, une guerre à la pirate a été provoquée. Avec retard et regrets elle a été reconnue en tant que grave erreur, des excuses ont été présentées, tous les prisonniers ont été libérés et leur retour pris en charge.  Mais depuis des temps immémoriaux, que ce soit en temps de paix ou de guerre, sur le Plateau arménien et ses alentours il n’en a pas été de même.

La formation artificielle d’une Turquie kémaliste et d’un Azerbaïdjan bolchévique s’est constituée sur les possessions arméniennes, grecques, assyriennes, yézidies, arabes, alaouites, zazes, alévies, kurdes, doukhobores, molokanes et autres peuples autochtones du Plateau Arménien, de la Pré-Caspienne Occidentale, de la Mésopotamie (arménienne) du Nord, de la Cilicie, de l’Asie Mineure et du nord-ouest du Plateau Iranien.

Pendant l’agression azerbaïdjano-turque de 44 jours en 2020 contre l’Artsakh (Haut-Karabagh), soutenue par des terroristes internationaux, les arméniens  et les peuples autochtones ont quitté leurs foyers millénaires emportant avec eux les cercueils ainsi que les stèles de leurs proches qu’ils ont déterrés. Lors du Génocide des arméniens, courant de 1894 à 1923, les arméniens et autres peuples autochtones déportés portaient espoir d’une sanction juste contre la Turquie pour les atrocités qu’elle avait commises à l’encontre de l’humanité et de la civilisation et d’un éventuel retour dans leurs foyers. A l’heure actuelle, le phénomène usuraire ne laisse même pas espérer le droit à la mort.

Si le Tribunal militaire de Versailles n’avait pas été volontairement neutralisé par les usuriers et si le Tribunal militaire de Constantinople, avec toute son autorité, avait puni tous les fomenteurs du Génocide des arméniens – les Jeunes Turcs  trancheurs de têtes, le gouvernement du Sultan, les kémalistes  – alors il n’y aurait  eu de peste brune ni dans le Vieux Monde ni nulle part ailleurs, ni quelques dizaines de millions d’individus innocents sacrifiés, de régions habitées, de villages, de villes et de pays  totalement détruits.  L’impunité de la Turquie est la cause des Génocides des grecs, assyriens, yézidis, arabes, alaouites, du peuple zaze, des alévis, des kurdes, des doukhobors, des molokans, des massacres des assyriens chrétiens d’Irak (1933), des pogroms juifs en Russie tsariste et Roumanie, de l’Holocauste, des Génocides au Cambodge par les khmers rouges et au Rwanda par le pouvoir Hutu et les forces contre les tutsis. Au XXe siècle, les actes de Génocides ont causé la mort d’au moins 30 millions d’individus.

Le conflit armé, initié impunément par la Turquie et la coalition internationale de pays de l’« Union des Etats turcophones», sur fond d’isolation pratiquement totale de la République Arménie a été précédé:

. d’un appel ouvert au djihad contre le peuple arménien (khazavat), d’abord à titre d’essai pédagogique sur le territoire administratif de l’Azerbaïdjan soviétique – à Soumgaït, Bakou et partout dans cette république soviétique, puis  au nord de la Syrie, en Irak, sur les canaux internationaux du terrorisme islamique, d’un recrutement assumé de djihadistes et leur implication totale dans les actes de Génocide contre la population pacifique de l’Artsakh, en dépit des normes élémentaires des droits humains;

. les millions de réseaux informatifs ont généré un puissant stimulus poussant à agir, fort de « l’enthousiasme » produit par l’expérience de cette guerre azeri-artsakhkiote de 44 jours.

Nous sommes persuadés que les poussées dont nous sommes témoins actuellement, en Afghanistan, en Syrie et maintenant au Kazakhstan, ne sont pas étrangères à la guerre en Artsakh. Il est souhaitable que la tâche des Forces de la paix soit de défendre les droits du peuple kazakh et des  citoyens du Kazakhstan contre les actions du séculaire usurier türk et de la « coalition des forces destructrices de la bande terroriste internationale »  dont les forces sont déjà pointées vers les peuples türks. Les peuples  doivent savoir reconnaître leurs imposteurs usuriers!

Il y a Cent ans:

– lors des Conférences de Versailles les Grandes Puissances victorieuses, la Ligue des Nations (ONU) créée sous l’impulsion du 28e Président des Etats-Unis d’Amérique Woodrow Wilson, des Décisions concrètes ont été prises pour remédier aux conséquences du Génocide des arméniens commis par la Turquie, en particulier: la création d’un Etat Arménie, la détermination de frontières arméniennes mais, affaiblis et fatigués  par cette Première Guerre Mondiale, les Pays vainqueurs n’ont pas mené à leur terme ces Décisions.

– le système usuraire  a dépossédé, démembré et anéanti la Russie (abdication du tsar, coup d’état, privation de l’Empire russe  du statut de Pays vainqueur de la Première Guerre Mondiale, guerre civile,  frontières de l’Empire entre nations et peuples tracées arbitrairement, répressions, Deuxième Guerre Mondiale, anthropocide vieux de 80 ans à l’encontre des peuples autochtones, au premier chef – russe, slave et arménien – , secrètement  et artificiellement, sous des mots d’ordre différents, participant « activement » à différents  projets et programmes internationaux, a accompli des atrocités contre les formes créatrices civilisationnelles;

– pour la première fois de leur histoire, les Etats-Unis sont entrés dans les affaires internationales (premier voyage vers le Vieux Monde du Président américain, diplomate et homme de paix ). C’était lié au réexamen de la Question Arménienne – le Mandat arménien, l’Arbitrage concernant la délimitation des frontières de l’Arménie, la confirmation de facto de la dénomination du territoire arménien au Congrès. Par la suite, les USA sont devenus super-puissance.

– le phénomène usuraire ne s’est pas contenté, à travers le culte de la personnalité, l’autoritarisme, le totalitarisme, le volontarisme, le subjectivisme des dirigeants bolchéviques et des pères du prolétariat mondial  de défigurer l’histoire du peuple arménien et de l’Arménie, impulsant une action à long terme, essayant de présenter  les arméniens comme des nouveaux venus: puisque les arméniens ont décimé avec cynisme de soi-disants  ourartiens inventés de toute pièce de leurs terres ancestrales, les turcs ont fait de même vis-à-vis d’eux. Tout cet échafaudage était indispensable pour libérer les turcs et leur machine génocidaire de l’obligation de reconnaître le Génocide des arméniens, de l’obligation de compensations sous forme de réparation et restitution suite au Génocide du peuple arménien et des autres peuples autochtones.

Déposséder les arméniens de leur histoire? Il n’est pas certain qu’ils y arrivent. Depuis des temps immémoriaux les arméniens vivent sur le Plateau Arménien. On peut dire qu’ils connaissent peu l’Arménie et son peuple.

Nous savons tous ce à quoi ont conduit les exigences de l’Allemagne nazie concernant le « Couloir de Dantzig » : au commencement de la préparation de la guerre contre la Pologne. C’est pourquoi Gareguin Njdè – commandant de l’armée impériale russe et vainqueur de la guerre des Balkans – et Andranik Ozanian – byzantin et général de légende – ont fait l’impossible et ont sauvé non seulement l’Arménie mais le monde chrétien orthodoxe ainsi que le Vieux Monde du phénomène usuraire.

Il est important aujourd’hui de se remémorer le monologue d’Hitler sur la tombe de Napoléon, de réaliser la force magique insufflée par la découverte du sarcophage de Tamerlan.

Nous ne répéterons pas les paroles de Tamerlan, dénommé homme de Dieu (Allah), pourquoi n’anéantit-il pas les arméniens, peuple de Dieu (Allah)? Ou bien les paroles du prophète Mahomet et des khalifes concernant les arméniens!

L’Islam n’est pas en cause dans les atrocités commises par les turcs! Le Grand Proche-Orient, adepte de l’Islam, a sauvé des arméniens et d’autres peuples de l’Empire Ottoman du Génocide usurier.

On assiste au processus de turquisation de l’Islam et au rejet de la responsabilité pour les crimes commis contre l’humanité – Génocide des arméniens, grecs, yézidis, arabes, kurdes, zazes, alévis, alaouites, molokans, doukhobors et autres peuples autochtones – par les forces usuraires et contre l’Islam.

Il est souhaitable de prendre connaissance du contenu de l’INSTRUCTION de Lenk Timour (troisième ligne du tapis suspendu au musée-mausolée de Tamerlan) concernant l’Artsakh (Karabagh), où noir sur blanc est inscrit – «ne pas offenser (toucher) le peuple  créateur arménien de l’Artsakh!».

 Eminences!

Etant donné que l’éradiquation multiséculaire du peuple arménien par les forces destructrices du phénomène usuraire est arrivée à son stade ultime et que depuis plus de cent ans personne  n’en répond ni n’en porte la responsabilité, nous vous supplions de défendre les intérêts et les droits élémentaires des arméniens de la Pré-Caspienne Occidentale, nous vous supplions  d’arrêter le Génocide actuel des arméniens  en Pré-Caspienne Occidentale, d’assurer leur droit  à la vie, à la paix, à la liberté de conscience et de croyance, à l’appartenance  ethnique et religieuse, à la libre circulation et au libre choix de résidence, à l’inviolabilité de la personnalité, du toit, des biens, à l’éducation et au droit à la santé.

Suite à ce qui est exposé plus haut:

– utiliser tout moyen pour faire libérer des geôles azéries les pacifiques prisonniers civils et militaires arméniens;

– dans le but de résoudre toutes les questions, revenir à la plate-forme mondialement reconnue de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe et  faire le bilan de  la guerre de 44 jours contre les arméniens – habitants pacifiques de l’Artsakh (Haut-Karabagh), des crimes de Génocide contre le peuple arménien à Soumgaït, Bakou (1918, 1920, 1988, 1990), Gandzak, Chouchi (1918, 1920), Maraga, Chamkhor, Kirovabad, Minguétchaour (1988), des nettoyages ethniques, du Génocide blanc et du culturocide du peuple arménien du Nakhitchevan ainsi que sur le territoire administratif de l’Azerbaïdjan soviétique dans son ensemble;

– octroyer un statut international aux Forces de la paix et à la souveraineté des arméniens d’Artsakh où, en plus des arméniens autochtones, se trouvent des réfugiés arméniens  suite au Génocide des arméniens de l’Empire Ottoman, du Nakhitchevan et d’Azerbaïdjan, descendants des victimes du Génocide des arméniens perpétué entre 1894 et 1923, réfugiés venant du Proche-Orient – Syrie, Irak et Liban depuis la fin du XXe  et le début du XXIe  siècle;

– concernant la démarcation et la délimitation, prendre pour base les Décisions des Instances internationales – le Conseil Suprême des Grandes Puissances victorieuses de la Première Guerre Mondiale, la Ligue des Nations (ONU) et, travailler sur ce socle de Décisions, Principes confirmé par les  Propositions de l’Exposé des Propositions de la Commission Spéciale de la Conférence de Paix de Paris (1919-1920) et non sur les cartes  des bolchéviks  – vieilles de 80 ans –  qui ont partagés administrativement et territorialement le territoire de l’URSS  alors que le pays n’était pas régi par le droit international ou créaient artificiellement un Azerbaïdjan et une Turquie, se partageant ainsi, sur un long temps,  l’aréal arménien;

– rétablir le Mandat sur l’Arménie, avalisé par les Instances internationales – la Ligue des Nations attribuant de jure et de facto les titres du territoire de l’Arménie.

Centre arménien pour l’anticipation et la prévention des génocides,

 Assemblée Nationale (Parlement) d’Arménie Occidentale,

 Centre international indépendant d’expertise juridique d’enregistrement, d’analyse, d’inventarisation, d’audit, d’évaluation qualimétrique et d’expertise juridique des pertes matérielles et immatérielles dues au Génocide des arméniens en vue de réparations et restitutions

 Martik Gasparyan, nominé au Prix Nobel d’économie et au Prix Nobel de la Paix, académicien, docteur ès sciences économiques, professeur

 6 janvier 2022

 ***

 Appendice:

1) Des épisodes moins intensifs et plus courts qui, à son avis, constituent des génocides:

L’autoritarisme et le totalitarisme en URSS dans les années 30

Le maoïsme et les japonais en Chine de 1920 à 1970 (y inclus la famine de 1950 organisée par l’Etat)

Le génocide des tibétains et autres minorités nationales de la République communiste chinoise sous le mandat de Mao Dzedong (subi par les tibétains – selon les conclusions de la Commission internationale des juristes associée à l’ONU). Les historiens soviétiques remarquaient que « la résistance de la population au pillage économique et au génocide national et culturel dans les régions qu’ils habitaient avait toujours existé, allant jusqu’à des soulèvements armés dans certaines régions ».

La Corée du Nord sous Kim Ir Sen et Kim Chen Ir

Le Guatemala, entre 1954 et 1996 et une période plus violente de 1981 à 1983

Le génocide au Timor oriental de 1975 à 1999 (plus violent de 1978 à 1980)

Le Soudan, depuis 1982 (environ 2 millions de victimes en 2006; les premières victimes étaient chrétiennes et animistes puis ce fut au tour des musulmans noirs pendant le conflit du Darfour)

Les crimes de guerre du Japon étaient définis comme « l’Holocauste asiatique ».

Concernant les famines de 1932-1933 en URSS (en Ukraine et en Biélorussie on parlait de La Grande Famine, au Kazakhstan on parlait de « Joue creuse »), il est question de reconnaître La Grande Famine en tant que Génocide, dans la mesure où elle a eu lieu au moment des crimes ethniques contre les ukrainiens et les kazakhs ou à la suite de la réorientation de la livraison du grain, en raison de la sécheresse, pour assurer les réalisations économiques et du plan. D’après Lemkin, les évènements dont il est question ont pris une tournure génocidaire et la continuation « de la politique à long terme (soviétique) d’anéantissement des peuples non-russes par le biais de la liquidation de leurs parties isolées ». Le concept de « génocide » concernant les nettoyages ethniques de la population russe en Tchétchénie, de 1990 à 2005, a été utilisé plus d’une fois par des personnalités officielles de la Fédération de Russie.

S’y ajoute le conflit et la traque des rohindjas à Myanmé, suite à la guerre civile en Birmanie

2) nier l’existence de l’Etat Urartu (Ourartou) relève de la falsification pour dissimuler le fait de l’existence réelle d’un Etat arménien au nom controversé d’Ourartou, écartant ainsi les arméniens de cette époque historique et présentant son histoire comme étant celle d’un Etat inconnu. Cela a été spécialement monté pour justifier les atrocités et les crimes  contre l’humain et l’humanité des turcs vis-à-vis des arméniens, des grecs, des assyriens, des yézidis, des arabes, des molokans, des zazes, des aléoutes, des alévis et autres peuples autochtones, arguant:

le peuple arménien a anéanti les ourartiens, envahi leur pays et aujourd’hui les turcs ont fait de même avec eux. Là, il y a surprise, l’un a anéanti l’autre, les turcs ont fait de même – voilà la mine dissimulée sous le mot Ourartou – pour blanchir les turcs de leurs responsabilités.

Le mot « Ourartou » provient du mot « Ouratour » (la lettre « r » avait changé de place)

« Oura tour », c’est la même chose que « Assa tour ». On trouve chez les arméniens  de nombreuses appellations de ce type: Astvatsatour, Bagatour, Sanatour, Vanatour, Tiratour, Ouratour.

3) Chez les grecs – Théodore, chez les slaves – Bogdan et ainsi de suite.

Les babyloniens et les assyriens considéraient Hayk comme le pays donné par Dieu. C’est la raison pour laquelle il a reçu le nom « Aura tour » où le mot Our signifie Dieu, « Ourar tou » peut être une erreur mécanique ou l’expression délibérée d’une même idée. « Our ar tou » – « Ar astetso tvatsy ».

La ressemblance avec « Ar Ar at » n’est pas dûe au hasard.

Les inscriptions de Daria témoignent qu’Ourartou est bien l’Arménie et les quatre termes – Hayassa, Naïri, Ourartou, Ouaïais (Hayaïs) trouvés sur les inscriptions assyriennes signifient les Etats du territoire que les Kettes nommaient Hayassa. Lors de la disparition du royaume assyrien et des textes, disparaissent également ces termes. Apparaît alors le terme persan Armina, au sens différent de ceux énumérés ci-dessus.

Les grecs transforment « Armina » en « Arménie » et c’est ce terme qui va se répandre dans toute l’Europe.

4) En Orient, deux religions  prononcent le mot dieu identiquement: Allah Il, Ala signifiant le dessus, et il serait plus exact de dire « Coupole ».

En Assyrie et Babylonie, on prononçait ainsi le mot dieu: Il, Ilou et il se traduisait comme « Coupole ». Il y a des expressions telles « Le toit du monde » mais peu sont nombreux à redonner à ces mots leur signification.

Notre galaxie ressemble à un cercle, possède un centre, des bras et au-dessus de cette galaxie se trouve une coupole et au-dessus de la coupole il y a une couronne.

Au-dessus du dernier étage du Ziggourat se trouvait une coupole, et cela s’est infiltré dans la religion.

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