The Declaration of Independence of Armenia is a fundamental legal document adopted at the first session of the Supreme Soviet of the Armenian SSR on August 23, 1990, which proclaims the beginning of the process …
The number one priority of the Ministry of Foreign Affairs (MFA) of Armenia is to ensure peace and stability around the country. Foreign Minister Ararat Mirzoyan stated this during Thursday’s debates on the 2025 state …
The European Parliament (EP) adopted, with 453 votes in favor, the Joint Motion for a Resolution on the situation in Azerbaijan, violation of human rights and international law and relations with Armenia, Armenpress reports.
Nominee for the Nobel Peace Prize and the Nobel Prize in Economics, expert of the International Criminal Court of the UN and the European Court of Human Rights, academician Martik GASPARYAN, considering that: the current …
The Armenian authorities are destroying relationships with the Armenian Diaspora. Benon Sevan, the former assistant secretary-general in the U.N. Department of Political Affairs, said this, commenting on the speech of Armenian Ambassador
Director and teacher of “Veratsnund” (Renaissance) Armenian Sunday School of Moscow (adjunct to the Embassy of the Republic of Armenia in the Russian Federation), Candidate of Pedagogical Sciences Shoghik Pahlevanyan recently released her book “Collection of Armenian Songs”. On this occasion, Hayern Aysor’s correspondent sat down for an interview with the book’s author.
Hayern Aysor: Mrs. Pahlevanyan, you recently released your new book entitled “Collection of Armenian Songs”. What made you publish this book? What is the purpose?
Shoghik Pahlevanyan: The idea of publishing the “Collection of Armenian Songs” was conceived a long time ago since teaching a language through songs makes the process of teaching easier and more pleasurable. It also helps students have a solid understanding of the tones and words of a particular language and helps enhance linguistic thinking.
Hayern Aysor: What audience is the book designed for?
Shoghik Pahlevanyan: The book is designed for preschoolers, small school-age children and schoolchildren at the intermediate and higher levels, as well as teachers and those wishing to learn Armenian and examine Armenian songs.
Hayern Aysor: How did you select the songs?
Shoghik Pahlevanyan: This book serves as a wonderful way of helping people learn about Armenian musical culture since it includes 68 Armenian ethnographic songs and the songs of great Armenian composers. I divided the songs into themes and presented the whole picture of Armenian song.
Hayern Aysor: Mrs. Pahlevanyan, is this your first textbook of Armenian songs?
Shoghik Pahlevanyan: I think this is the first handbook of Armenian songs for Armenians since it features the originals of the songs in Armenian, their translations, the transcriptions and the musical notations of the songs.
Hayern Aysor: How has the feedback been?
Shoghik Pahlevanyan: There have been critiques and many words of appraisal from not only specialists in Armenia, but also teachers of Armenian schools of Russia, and they are all objective.
I have received critiques and opinions from Doctor of Pedagogical Sciences, Professor, Merited Pedagogue of the Republic of Armenia Yuri Yuzbashyan; Doctor of Pedagogical Sciences, Professor Julieta Gyulamiryan; Candidate of Philological Sciences, Associate Professor Ashot Galstyan; Doctor of Philological Sciences, Director of M. Abeghyan Institute of Literature Vardan Devrikyan; Candidate of Pedagogical Sciences, Associate Professor Lilit Ter-Grigoryan, as well as the book’s editor, Candidate of Philological Sciences Lusine Hayriyan and others.
Hayern Aysor: Mrs. Pahlevanyan, alongside this book, you have also been holding Accelerated Armenian Language Courses, which are part of the “Ari Tun” Program. What experience have you gained throughout all these years?
Shoghik Pahlevanyan: I must say that working with the young Armenians visiting Armenia through the “Ari Tun” Program has been very interesting. During their short stay, I have to instill in them the love for the Armenian language, and that love can grow in the future.
At the same time, these courses helped me become convinced that the methodical benchmark of my textbooks (“Russian-Armenian Conversational Book”, “Russian-English-Armenian Conversational Book”, Collection of Armenian Songs”, etc.) is right, and this helps accelerate the process of teaching the Armenian language.
A 7-year-old American chess player of Armenian origin, Aren Emrikian has won the World Chess Federation’s Cadet Championship gold medal for male players younger than 8, The Chicago Tribune reports.
His victory came after 11 rounds of play in the Brazilian city of Pocos de Caldas.
In a recent interview, Emrikian reveals that it was his mom who taught him play chess. Continue reading
Dans les SMI de la semaine dernière on a pu lire que les responsables de la municipalité d’Edremit (arm. Artamet – transcription supposée) de la région de Van ont fait construire une plage publique avec vestiaire et WC sur l’emplacement historique du cimetière arménien. Les ossements ont été dispersés à travers tout le cimetière. A ce sujet la municipalité s’est expliquée sur son compte Twitter :
« L’information donnée par l’agence Didjlé concernant la destruction d’un cimetière arménien et l’édification à sa place d’une plage publique etc.. est totalement fausse ; dans cette région il n’y a pas de cimetière arménien ».
Le responsable administratif fera tout pour occulter sa honte. Malheureusement, du haut de mes quarante ans, j’ai été témoin de tels actes et cela ne m’étonne plus. Il s’agit seulement d’un nouvel acte honteux commis à l’encontre du peuple arménien dont j’ai pris connaissance pendant les débats et ai lu les commentaires suivants :
En voici quelques uns :
« arméniens traîtres et sales porcs, ne jouez pas avec la patience du peuple turc sinon vous ne trouverez plus aucune pierre tombale »
« Ce ne sont pas des arméniens qui y sont enterrés mais des terroristes ordinaires »
« Si quelqu’un a commis cet acte, ce sont bien les arméniens »
« Au cimetière il n’y avait pas de WC. Donc c’est un service rendu à nos citoyens arméniens… »
Faut-il s’étonner des paroles d’un tel « individu » ? On a construit un wc sur des tombes d’arméniens qui sont pourtant citoyens de votre gouvernement et de plus il menace : « sales porcs d’arméniens, vous ne trouverez plus aucune pierre tombale » écrit-il. Et il faut de plus considérer ces wc comme un cadeau rendu aux arméniens…. La haine, la haine, rien que de la haine !
Après ce tweet, nous apprenons que cette plage publique est fermée, que des camions et des excavateurs ont commencé les travaux, que le chef religieux protestant de Van, Vakhit Yildyz , n’a pu y pénétrer. Yildyz a déclaré que des ossements ont été repérés dans les tas de terre retournée : « Dans des lieux comme les églises, cimetières ou sanctuaires il n’est pas bon de construire des toilettes, des douches ; c’est contraire à l’éthique » a-t-il souligné. Si la pareille avait été faite dans un cimetière musulman, il est plus que probable qu’une mobilisation ait lieu.
Il y a eu tant de violences sur cette terre. Les arméniens, les assyriens, les chaldéens, ces peuples ont été anéanti sur cette terre. Nos grands-pères aussi ont participé à ces massacre et génocides. Depuis de longues années je vis avec cette honte. Je ne veux plus partager cette honte à cause de ce qui s’est passé dans ce pays. Je ne me considère pas comme une composante de cette société. Je ressens une colère terrible envers ceux qui ont accompli ces actes. Je veux lutter contre ceux qui accomplissent ces actes barbares, ces pogroms, ces crimes. Je veux que cela ne se reproduise plus.
Ma grand-mère Aïcha, décédée à l’âge de 104 ans, me racontait comment on avait tué leurs voisins arméniens. A coup de pelle, de hache, à coups de feu ; on les jetait du haut de la falaise de notre village et elle les a pleurés jusqu’à sa mort. Ma grand-mère me racontait encore que les os savent également parler. Ma grand-mère disait qu’elle en avait entendus parlé. Ils priaient qu’on s’occupe d’eux et qu’au moins, quelquefois, on vienne leur rendre visite.
Dans ce pays on ne respecte pas les vestiges d’ossement. Ici on tue, on affame, on laisse sans travail, on jette dans les prisons. Mais maintenant nous savons en plus, qu’ici, on est capable de construire des wc sur les tombes !
A la veille du référendum concernant l’indépendance du Kurdistan irakien prévu le 25 septembre, la capitale de cette région non encore indépendante est devenue « la Mecque politique » du Proche Orient. De nombreuses délégations étrangères se rendent à Erbil pour discuter avec les dirigeants locaux des perspectives du développement de la situation non seulement en Irak mais dans toute la région. Effectivement, la situation évolue rapidement et de manière très significative au point de presque faire oublier la lutte contre DAECH (organisation dont l’activité est interdite en Fédération de Russie). Donc le facteur de désagrégation – après celle de la Lybie – d’un autre Etat arabe conduira fatalement à la formation de nouveaux centres de force qui ne seront certainement pas capables de collaborer dans le futur.
De plus n’oublions pas que pratiquement tous les Etats du Proche Orient ont été créé, arbitrairement, à l’époque coloniale. C’est la raison pour laquelle l’apparition d’un Kurdistan indépendant peut avoir un effet domino et faire crouler toute la construction géopolitique actuelle. Personne ne conteste plus cela, les questions concernent les détails. Parmi les Etats où vivent les Kurdes – la Turquie, l’Iran, la Syrie – seuls les kurdes d’Irak jouissent d’une réelle autonomie avec les pleins attributs gouvernementaux. Là, ils peuvent réaliser leur but historique fondamental qui tôt ou tard imposera le projet de « Grand Kurdistan ».
Il ne faut pas non plus exclure le fait que les Kurdes de Syrie réussissent à obtenir leur autonomie. A la suite de l’Irak , le mouvement conduira à stimuler des changements dans le statut des kurdes de Turquie et d’Iran. Ainsi se conclura une chaîne d’évènements, étonnante et paradoxale, commencés en 2011 avec « le printemps arabe », le renforcement de l’islam radical, l’apparition de DAECH (organisation dont l’activité est interdite en Féd de Russie), le projet d’institution d’un khalifat, l’émergence potentielle sur la scène politique d’un projet de Kurdistan en Turquie, Syrie, Iran, doté de structures étatiques kurdes. C’est-à-dire que, si à l’heure actuelle nous avons affaire à quelques Etats turks : Turquie, le Nord de Chypre, Azerbaïdjan et quelques Etats d’Asie centrale, dans le futur peuvent émerger quelques pays kurdes.
Et il sera même possible de voir deux Arménies, l’une en Transcaucasie et l’autre au Proche Orient. Ce n’est pas pour rien qu’ Ilham Aliev, président de l’Azerbaïdjan, déclare qu’ « il ne tolérera pas l’apparition d’un deuxième Etat arménien dans la région » et Regep Taip Erdogan, président de la Turquie, dit qu’ « il n’admettra pas la formation en Syrie d’un Etat kurde de plus ». Aliev, se référant une fois de plus à des sources non nommées, a souligné que « on l’enjoint à reconnaître l’indépendance du Nagorno-Karabakh » puis Erdogan , au cours de ses prises de paroles, a évoqué « la dislocation du pays ».
Ankara qui a besoin du soutien de ses alliés de l’OTAN et, se trouvant sous la pression du Parti des travailleurs kurdes (PKK), du parti « Union démocratique » (PYD) et de DAECH (organisation dont l’activité est interdite en F. de R), se retrouve devant le fait que certains membres de l’OTAN, directement ou indirectement, soutiennent ces mouvements comme le constate le journal Cumhuriyet. Se référant à de nombreux experts turcs bien informés, il pronostique que « la région que nous nommons Proche Orient a, de fait, fait émerger un Etat kurde indépendant » et qu’il faut réétudier le Traité de Sèvres de 1920 qui stipulait la création d’un Grand Etat d’Arménie et « admettait seulement la formation d’un Etat kurde, indépendant de la Turquie ».
En outre, Cumhuryiet estime que « Ankara, à plus ou moins brève échéance, n’aura d’autre alternative que de reconnaître un Kurdistan indépendant , de consentir à une résolution de la question arménienne » et l’Azerbaïdjan « aller vers la reconnaissance de l’indépendance du Nagorno-Karabakh ». Le drame dans la situation de la Turquie et de l’Azerbaïdjan réside dans le fait que les menaces envers leurs gouvernements ne viennent pas du nord, pas de la Russie mais du sud auprès duquel ils ont par tradition cherché des alliés. Pour l’instant tous les regards sont concentrés sur Erbil, sur sa capacité ou non de réaliser son plan d’autodétermination.
Font pression sur lui pour le report du référendum à mars prochain les Etats-Unis, « après avoir défait DAECH (organisation dont l’activité est interdite enRussie) » ainsi que Bagdad qui ne souhaite pas de divorce, la Turquie qui est à deux doigts de conclure une alliance politico-militaire avec l’Iran contre le mouvement kurde et quelques Etats arabes de la région. Cela oblige les kurdes à manœuvrer.
Ainsi, le proche conseiller de Massoud Barzani, président du Kurdistan, a annoncé que « ce plan ne peut être modifié que si on donne aux kurdes de solides garanties internationales sur une date concrète pour l’ organisation du vote concernant son indépendance ». En accord avec cette déclaration « Bagdad, Téhéran, Ankara et Washington doivent être les partenaires de cette transaction qui doit également inclure que les parties signataires accepteront les résultats du référendum.
On le voit : Moscou ne figure pas dans la liste bien que d’après les résultats des consultations qui se sont déroulées à Moscou entre le vice ministre des Affaires Etrangères et représentant particulier du président russe aux affaires du Proche Orient et des Pays africains Mikhail Bogdanov et son homologue de la République turque Sedate Onal « la Russie et la Turquie ont confirmé vouloir conserver l’unité, la souveraineté et l’intégralité territoriale de l’Irak. Est soulignée l’importance de résoudre les problèmes internes par les irakiens eux-même dans le cadre d’un dialogue respectueux des intérêts de toutes les composantes ethno-confessionelles de la société irakienne ».
Encore quelques nuances importantes. Mevlut Tavutoglü, responsable du Ministère des Affaires Etrangères de Turquie, allé récemment à Erbil, dans une conversation avec Barzani a annoncé que « Ankara considérait que le choix de la date pour les élections concernant l’indépendance du Kurdistan ne convenait pas ». Devlet Bahceli, leader du parti turc d’opposition , Parti du mouvement national (PND) a vu là un soutien masqué d’Ankara « pour la préparation par Barzani d’un référendum y inclus dans certaines villes turkmènes d’Irak », ce qui à son avis « s’avère, en son genre, une répétition pour la création d’un Kurdistan».
Dans le même temps, de nombreux experts turcs estiment que « même si une majorité de participants au référendum voteront pour, cela ne signifiera pas que les kurdes proclameront la création d’un Etat propre ». Ils pensent que Erbil compte « recevoir appui dans les pourparlers pour son autodétermination vis-à-vis de Bagdad de manière à y diminuer l’influence de l’Iran », ce en quoi est objectivement intéressée Ankara. Pour l’instant le chef de l’autonomie kurde reçoit de nombreux diplomates étrangers, explique son point de vue, essaie de s’assurer un appui de l’étranger. En un mot il s’agit d’un grand jeu aux combinaisons multiples qui continue et s’approche d’une résolution intermédiaire.
The Armenian community of Lebanon has a State Shura Council General Inspector in the country’s government, and after ten years. Houri Der Sarkissian, 43, has been appointed to this position, after a long effort.
Der Sarkissian told Armenian News-NEWS.am that after graduating from Armenian school, she studied at the French University where she got a degree in law, and she became an attorney.
“But I have never worked as a lawyer,” Der Sarkissian noted. “I was adviser to the four Armenian ministers of Lebanon. Subsequently, I took the government exams and became first-class government official and was appointed General Inspector of the State Shura Council. An Armenian used to hold this position, but after his death, Armenians were not appointed [to this office] for already ten years. After the Armenian community’s [respective] endeavor, I became General Inspector.”
The State Shura Council oversees the staff of all ministries in Lebanon, so that no one would take unlawful steps.
Houri Der Sarkissian added that she keeps in touch with the Lebanese Armenian community and participates in all national events.
About 140 to 165 thousand Armenians live in Lebanon, but there are solely a few Armenian officials in the Lebanese government. The latter currently has two Armenian ministers: Minister of Tourism Avedis Guidanian, and Minister of Women Affairs Jean Oghassabian.
Iran will return a 629-year-old bell belonging to the Armenian Holy Cross Church on Akhatamar Island in Van, Asbarezwrites.
The bell appeared in Iran under unknown circumstances. It has been on display at the Anthropology museum in the north-western city of Urumieh,
“We have begun a policy of returning all historical monuments and artifacts in Iran to their countries of origin in compliance with all necessary legal procedures,” said Mirhadi Kareseyyed-Romiani, Vice-President of the Iran’s Cultural Heritage, Handicrafts and Tourism Authority.
According to him, this policy aims to demonstrate to the world the true nature of Iran as a friendly country that prioritizes good neighborly relations and respect for humanity and history.
Marking three years since the Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL/Da’esh) attacked the Yazidis in Syria, a United Nations-mandated inquiry has called for justice and rescue plans.
“The Commission of Inquiry calls on the international community to recognize the crime of genocide being committed by ISIL against the Yazidis and to undertake steps to refer the situation to justice,” said the expert panel in a statement marking the third anniversary of ISIL’s attack on the Yazidis.
According to the Commission, in the early hours of 3 August 2014, ISIL fighters launched an attack on the Yazidis of Sinjar – a distinct religious community whose practice spans thousands of years. Over the following days, the terrorist group executed hundreds of men and took captive thousands of women and children, publicly reviling them as ‘infidels.’
In its June 2016 report, entitled They Came to Destroy: ISIS Crimes Against the Yazidis the Commission found that many of the women and girls were taken to Syria where they were sold as chattel and sexually enslaved by ISIL fighters. Boys were indoctrinated, trained and used in hostilities.
“ISIL committed the crime of genocide by seeking to destroy the Yazidis through killings, sexual slavery, enslavement, torture, forcible displacement, the transfer of children and measures intended to prohibit the birth of Yazidi children,” the report concluded.
The genocide is on-going and remains largely unaddressed, despite the obligation of States Party to the Convention on the Prevention and Punishment of the Crime of Genocide of 1948 to prevent and to punish the crime, the Commission said.
“Thousands of Yazidi men and boys remain missing and the terrorist group continues to subject some 3,000 women and girls in Syria to horrific violence including brutal daily rapes and beatings,” the expert body noted.
Pointing out that some women and girls are being held in Raqqa city, the Commission revealed that as the Syrian Democratic Forces and international coalition offensive on Raqqa intensifies, reports have emerged of ISIL fighters trying to sell enslaved Yazidi women and girls before attempting to flee Syria.”
The Commission recommended that all parties fighting ISIL consider plans to rescue Yazidi captives and use all possible to ensure their freedom during on-going military operations.
“The international community must also recognize ISIL is committing the crime of genocide against the Yazidis,” the statement concluded, urging action to refer the situation to justice, “including to the International Criminal Court or an ad hoc tribunal with relevant geographic and temporal jurisdiction as well as to dedicate resources to bringing cases before national courts, whether under the framework of universal jurisdiction or otherwise.”
The Independent International Commission – comprised of the Chair, Paulo Sérgio Pinheiro, Karen Koning AbuZayd and Carla Del Ponte – has been mandated by the UN Human Rights Council to investigate and record all violations of international law since March 2011 in Syria.